Ethel Coppieters naît à Bruxelles en 1996. Elle étudie à l’erg pendant 5 ans, où elle obtient son master de peinture en 2021.
Elle peint des portraits de femmes emprunts d’évocations contradictoires et de sentiments mêlés. Inspirée par les femmes de sa génération et de son quotidien, elle tente de créer des scènes oniriques. Les figures qu’elles créent sont nourries par des références classiques féminines mais aussi par des éléments narratifs contemporains.
Ces toiles libres de toutes temporalités parlent de l’intime et de l’universel, dans des portraits de femmes déconstruits dans leurs proportions, et délivrés des injonctions de beauté que l’on connait.
Son travail est marqué par sa pratique parallèle de la fresque et du graffiti. Connue sous le nom de Soaz, son univers s’articule principalement autours de la représentation des femmes à travers des portraits ou des compositions mélangeant corps et visages. La confrontation des formes et couleurs fait partie de son exploration artistique. Elle tente de créer un nouvel imaginaire à l’espace public en y imposant l’existence de ses fresques.
Ethel Coppieters was born in Brussels in 1996. She studied at the erg for 5 years, graduating in 2021 with a master’s degree in painting.
She paints portraits of women full of contradictory evocations and mixed feelings. Inspired by the women of her generation and her everyday life, she tries to create dreamlike scenes. The figures she creates are nourished by classical feminine references but also by contemporary narrative elements.
These timeless canvases speak of the intimate and the universal, in portraits of women whose proportions are deconstructed and freed from the familiar injunctions of beauty.
Her work is marked by her parallel practice of murals and graffiti. Known by her stage name Soaz, her work revolves around the representation of women in portraits and compositions that blend bodies and faces. The confrontation of shapes and colours is part of her artistic exploration. She tries to create a new imagination in public spaces by imposing the existence of her frescoes.